-J'suis ni musicien, ni chanteur... Je suis crève-faim...
Crédit : Bibliothèque Nationale de France - Gallica. Dessin de Van Dongen.
Le numéro complet ici :
Dessin de Willette.
Le Sultan devant subir une grave opération, et le docteur Pozzi-Bey lui refusant le concours de sa science, la Porte s'est adressée à Lafenestre qui s'est empressé de lui indiquer le grand spécialiste Deibler. (Les Journaux)
Dessin de Dorville.
A Yldz. - C'est le malade qui tue son médecin.
Dessin de Hermann-Paul.
La vie de château.
- Il est mieux qu'un jockey !...
Dessin de Leal de Camara.
Le cauchemar.
Dessin de Jossot.
- Qu'importe à Monsieur le Juge l'innocence en fait si l'accusé en coupable en droit ? (Les Tapinophages)
Dessin de Gosé.
- Mon verre n'est pas grand, mais je bois dans mon verre.
Dessin de Gil Baër.
Un père pour ses employées.
- Vous savez qu'Angèle vient d'être augmentée par le patron ?...
- Allons donc... de combien ?...
- De dix francs par moi... et d'un enfant.
Dessin de Leteur.
Le sultan. - Sacrifier 40 moutons et 100 chameaux ! Oh ! Les pauvres bêtes !... Ne pourriez-vous pas obtenir le même résultat avec 2 000 Arméniens ?...
Dessin de Léandre.
Saison des eaux.
- Chacun va aux eaux suivant ses moyens !
Dessin de Coussens.
- Pensez donc, madame, un hérétique !... Voilà bien le doigt de Dieu qui se manifeste par cet orage...
Dessin de Huard.
Les mots.
- Nous sommes les solides piliers de l'édifice républicain.
Dessin de Jeanniot.
- Est-ce que tu étais encore à Saint-Lazare, lorsque j'ai été nommé président ?...
Crédit : Bibliothèque Nationale de France - Gallica.
Je comprends 100% des dessins, mais pas plus de 30% de leur finesse.
RépondreSupprimerFaut chercher pour en jouir en totalité en deuxième voire troisième lecture.
Comme quoi les journalistes étaient moins soumis que nos "journalistes" actuels à une autocensure due à leur formatage.
Salut,
RépondreSupprimeril faut dire qu'à l'Assiette au Beurre, c'étaient de sacrées pointures !!!
Bientôt vont arriver les numéros spéciaux et certains sont des chefs-d'oeuvres.
Et, effectivement, c'était un temps de liberté pour la presse...
Toute une civilisation disparue aujourd'hui.