Quand j'étais enfant mes parents assez beaucoup pas mal pauvres étaient des fanas de cinéma. On y allait tous les dimanches, parfois le samedi soir et le dimanche. Puis il y eut l'internat et son cine club du mercredi soir et la séance au cinoche de Blaye le jeudi après midi....... Et souvent le cinéma en famille le dimanche. Puis vint la télé payée par une grand mère et les classiques du cinéma français et anglo saxon...mais aussi tous les classiques des comédies musicales le dimanche après midi.... Au total de milliers de films et le plus souvent des meilleurs. Plus tard cette tele m'offrit de connaitre le théâtre classique, Corneille, Racine Molière mais aussi ...bien d'autres..... ma vie se décida un peu dans ces moments. Il aura fallu un mariage en Poitou pour que le rythme diminue...mais changeant de femmes, la suivante est une vraie fondue de cinéma et de littérature. Comme elle approuve mes réserves au sujet de ce prétendu art elle me fait le tri.Je ne vais plus qu'une ou deux fois par an en salle. Mais la tele me permet de voir et revoir parfois une dizaine de fois certains films...Je suis devenu très exigeant et je ne m'en porte pas plus mal. Du temps où que je faisais le prof, au temps du VHS, mes élèves ont vu ce que j'aimais et eux m'ont fait découvrir les BODINs...
yep , ceux qui voulaient se donner la peine de regarder les feuilletons policiers us des 70s3 sans s’arrêter au clinquant a la modernité et la profusion consumériste ,pouvaient voir le coté terrifiant de l’Amérique des perdants .C'est un truc que j'ai remarqué la majorité des scénaristes us montraient toujours en fond la trame sociétale us . Furtif a raison smoke vous prend a la gorge tellement il est acre.
J'ai enfin trouvé à quoi me faisaient penser toutes tes photos newyorkaises .
RépondreSupprimerSmoke
Encore un film que je n'ai pas vu...
SupprimerJe suis maudit !
Quand j'étais enfant mes parents assez beaucoup pas mal pauvres étaient des fanas de cinéma. On y allait tous les dimanches, parfois le samedi soir et le dimanche.
RépondreSupprimerPuis il y eut l'internat et son cine club du mercredi soir et la séance au cinoche de Blaye le jeudi après midi.......
Et souvent le cinéma en famille le dimanche.
Puis vint la télé payée par une grand mère et les classiques du cinéma français et anglo saxon...mais aussi tous les classiques des comédies musicales le dimanche après midi....
Au total de milliers de films et le plus souvent des meilleurs.
Plus tard cette tele m'offrit de connaitre le théâtre classique, Corneille, Racine Molière mais aussi ...bien d'autres..... ma vie se décida un peu dans ces moments.
Il aura fallu un mariage en Poitou pour que le rythme diminue...mais changeant de femmes, la suivante est une vraie fondue de cinéma et de littérature. Comme elle approuve mes réserves au sujet de ce prétendu art elle me fait le tri.Je ne vais plus qu'une ou deux fois par an en salle.
Mais la tele me permet de voir et revoir parfois une dizaine de fois certains films...Je suis devenu très exigeant et je ne m'en porte pas plus mal.
Du temps où que je faisais le prof, au temps du VHS, mes élèves ont vu ce que j'aimais et eux m'ont fait découvrir les BODINs...
yep , ceux qui voulaient se donner la peine de regarder les feuilletons policiers us des 70s3
RépondreSupprimersans s’arrêter au clinquant a la modernité et la profusion consumériste ,pouvaient voir
le coté terrifiant de l’Amérique des perdants .C'est un truc que j'ai remarqué la majorité des scénaristes us montraient toujours en fond la trame sociétale us .
Furtif a raison smoke vous prend a la gorge tellement il est acre.