jeudi 21 décembre 2023

Il faut choisir. Mourir... ou mentir ? (Le Doulos, 1962)

 

Le Doulos de Melville fut :
1) Encensé par les Cahiers du Cinéma (voir Le Vraisembable mensonge par Claude Beylie)
2) Méprisé par le New York Times, "There's not much to recommend the picture, which is one of those feeble attempts to be philosophical and mordant about crime as a chosen career. Jean-Pierre Melville, who wrote and directed it, has so many scenes of mere conversation running through it—so many scenes in which plot is played in talk—that one wonders why his people need firearms. They can talk one another to death."
3) Ignoré par la critique américaine jusqu'à Tarantino qui dit des films de Melville"they had this French Gallic thing going through it, yet they were still trying to be like their American counterparts, but they had a different rhythm all their own."
 
 
 














1 commentaire:

  1. Par un effet curieux, comme si le fictif avait contaminé le réel, Reggiani "attrapa" une scoumoune professionnelle lors de ce film. Un désamour qu'il couvait depuis quelques années. Il mit presque dix ans à s'en défaire par les chemins détournés de la chanson et des films de Sautet.
    Dans les années soixante je connaissais bien mieux le fils Stephan que le père.
    DLF

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