mercredi 16 avril 2014

De la nécessité de préserver le parasite culturel en milieu hostile


Aurélie Filippetti, non contente d'arroser grassement les membres de son cabinet (+ de 3000 euros de primes par mois pour ces pauvres fonctionnaires cultureux dans le besoin), aime s'occuper de ce qui ne la regarde pas...

Ou plutôt, elle passe son temps à faire les poches des autres pour remplir celles des parasites qu'elle élève en batterie.

Ainsi, elle vient de remettre en cause un accord qui avait été négocié par les partenaires sociaux.
Il faut dire que ces braves gens ont eu l'outrecuidance de considérer que le régime des intermittents du spectacle coûtait trop cher à l'UNEDIC (voir ici ou ici) et que c'était à l'Etat de financer la Culture et non aux salariés.

Décision de la ministre ? Les pauvres continueront à financer ses parasites... Elle ne peut pas se permettre un mouvement social à quelques jours du festival de Cannes et des autres sauteries à venir.
C'est beau le socialisme culturel !

Et tant qu'à faire, elle va aussi s'occuper du maintien des parasites culturels associatifs dans les villes passées au FN (voir ici)
Encore une fois... Si des électeurs ont décidé d'élire un maire FN, c'est en connaissance de cause.
Si ce maire n'a pas pour priorité de continuer à assurer le train de vie des parasites culturels de Mme Filippetti, ses électeurs sont assez grands pour s'en plaindre...
C'est beau la démocratie socialiste !

Une distribution de breloques à des acteurs culturels comme les aime Mme Filippetti.

PS : Ce n'est pas un photo montage !!!! Malheureusement...

il n'y a que les esprits chagrins qui remarqueront que Mme Filippetti décide tout ça le jour où le Premier Ministre décide que tout le monde va devoir se serrer la ceinture, excepté les parasites culturels, si j'ai bien compris le sens de la pensée de leur ministre de tutelle.

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