jeudi 17 avril 2014

Etre socialiste, c'est avoir une conscience de classe... affaire

Allo... T'es là ?

Excepté l'Abbé Pelletier Jean d'Agoravox et l'impayable Bruno Roger-Petit d'une sous-filiale de la BNP ( Bergé-Niel-Pigasse), il n'y a plus grand monde pour accorder quelque crédibilité au Président de la République élu par défaut et à son entourage...

Il faut dire qu'il y mettent du leur. Arrivés au pouvoir sur des promesses de moralisation de la vie publique, cette association de canailles se comporte comme les pires des parvenus.

Dernier en date, Aquilino Morelle, le nègre présidentiel qui ne faisait que s'approprier le travail d'un sous-nègre, si l'on en croit Mediapart.

Charmant Marquis de cour, Aquilino Morelle se fait aussi cirer les pompes sur son lieu de travail. Ce n'est pas un crime, comme le rappelle Bruno Roger-Petit, mais ça rappelle étrangement les frasques d'un autre socialiste.

Tout ceci ne serait que broutilles et n'aurait pas plus d'intérêt que la filmographie de la dernière conquête de François Hollande.

Mais, Aquilino Morelle est aussi un énarque socialiste. En conséquence, un petit arrangement avec la morale commune est toujours le bienvenu.
Bingo ! Aquilino Morelle pratiquait le mélange des genres. Inspecteur à l'IGAS (Inspection Générale des Affaires Sanitaires) sur le papier et pour toucher son salaire, mais aussi conseiller d'un laboratoire pharmaceutique pendant ses loisirs et son temps libre....

L'intéressé ne voit pas où pourrait être le problème... D'ailleurs, il n'y a pas de problème. En 1999, celui qui officiait comme nègre auprès de Lionel Jospin, disait déjà :

Si tu le dis, coco, c'est que ça doit être vrai... Passer de la classe ouvrière à la classe affaire, c'est le parcours normal d'un énarque socialiste !

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