lundi 4 décembre 2017

Du rififi chez les baltringues

Lettre ouverte au rédacteur du site Panda-France.net




Monsieur le rédacteur du site panda-france.net,

J'ai pris connaissance avec stupéfaction de votre billet, publié sous le titre J'accuse.

De ce magma sans queue ni tête je retiens ces deux informations :




1) Vous vous demandez d'où vient et où va l'argent ? Force est de constater que vous ne vous étiez pas posé la question tant que vos articles étaient publiés. Compte tenu de leur médiocrité, on peut dire que vous en avez eu largement pour votre argent !

2) Vous vous interrogez sur les conditions de publication des articles sur un média qui s'annonce citoyen. Force est de constater que tant que vous profitiez d'éventuelles failles, cela ne vous préoccupait guère. Comme vos comparses, votre seule motivation était d'occuper l'estrade sans se préoccuper du voisinage.

On vous a ainsi vu vous pavaner, la plume au cul, aux côtés de tout ce que la toile a produit comme auteurs sans lecteurs, artistes de variété sans public, propagandistes aussi divers que variés, pédagogos en mal d'existence, promoteur des centrales à patates, complotistes, vendeur de poudres magiques, adeptes des chemtrails, etc.

En fait, il n'y a que deux possibilités :
a) Les articles sont bien validés par des modérateurs citoyens. Dans ce cas, il vous faut accepter que ces modérateurs citoyens ne goutent pas votre charabia. Il vous faut aussi accepter que se créent des fans clubs, c'est le revers de la médaille. Les stals du PRCF ont le leur, doctorix a le sien, pourquoi refuser l'existence d'un fan-club qui vise à ne publier que des bouses ?
b) Les articles sont publiés sans tenir compte de cette pantalonnade citoyenne. Il vous faut alors accepter de ne plus être de ces larbins qui bénéficient de la tête de gondole.

---

Vous me faites l'honneur de mettre l'un de mes billets en lien hypertexte dans votre billet. Publié sur ce blog en février 2014, il a été repris en avril 2017 sur disons.fr.

J'ai le regret de devoir vous dire que vous n'y avez rien compris, vous qui prétendez contribuer à la "réunification de la pensée universelle".

Dans mon billet, je reprenais les principales critiques opposées au concept foireux dont vous croyez assurer la promotion. En 2014, j'ignorais jusqu'à votre existence. Vous êtes la démonstration que ces critiques n'étaient pas que théoriques.

Robert Lavigue

PS : Dans votre billet, la lecture de vos commentaires (et de ceux de votre protégé) est édifiante.

La liste des membres de votre fan club démontre, à l'insu de votre plein gré, toutes les amitiés intéressées de ceux et celles qui n'attendaient qu'un retour d'ascenseur de votre part. C'est leur servilité et la votre qui est mise à jour à travers ces médiocres truquages. Ajoutons un petit coup de pouce de temps en temps et voilà expliqué la publication ou la non-publication de votre sabir incompréhensible.

4 commentaires:

  1. C'est lumineux.Et c'est triste.
    Il se plaint, aujourd'hui, d'être la victime d'un système qu'il a applaudi et dont il s'est vanté du fonctionnement . Il a même ces derniers temps agi de toute son "influence" pour aggraver son caractère arbitraire et mensonger.
    Et pourtant pris dans un tel filet d'impostures il continue à ne pas accuser trop vertement le Maitre des faux semblants.
    Il continue à deviser benoitement avec ceux qui ne lèvent pas le petit doigt en sa faveur...
    Où sont les grands proclamateurs de principes citoyens ?
    Où sont les Gasty , Philocyclistes, et autres tribuns honorables?
    Ils sont trop affairés à surveiller leur droit d'accession à l'Estrade citoyenne...
    Eux aussi ils savent.
    Et tous dans un concert tonitruant ils se taisent .
    .
    Aussi ne regardè-je pas PANDA sans une certaine compassion. N'ai-je pas , moi aussi , été pris dans les mêmes pièges? N'ai-je pas foncé moi aussi tête baissée et tout jugement biaisé dans ces égarements de la pensée?
    .
    Traité avec le même mépris sous les quolibets des mêmes complices/comparses .
    .
    Le petit margoulin auto entrepreneur ne l'emportera pas au paradis et ses comparses non plus.

    RépondreSupprimer
  2. Tu t'es peut-être laissé prendre au chants des sirènes citoyennes Furtif mais, et c'est là toute la différence avec un Panda, tu n'as jamais désiré en être acteur. C'est l'idée qui t'intéressait pas d'écrire, ni monter sur l'estrade. Moi, la meilleur blague de tous les temps et dont je ne me lasse jamais et celle de l'arroseur arrosé. Le Panda n'a que ce qu'il mérite, on en a encore la preuve lorsqu'il utilise un article de Lavigue sans, ni le citer, ni lui demander son autorisation.

    RépondreSupprimer
  3. @ Furtif & @Ranta

    Pour résumer... Le Panda est un faux-cul mitoyen comme les autres et il ne mérite aucune compassion.

    1) Tant qu'il avait accès à la gamelle, il ne trouvait rien à y redire (si ce n'est qu'il exigeait un peu de rab).
    2) Tout ce qu'il demande, c'est de pouvoir continuer à publier ses plagiats entrecoupés de son sabir.

    Ce n'est pas la même chose que d'avoir cru à un concept. J'ai le beau rôle. Quand j'ai découvert cette fumisterie, la supercherie avait déjà été mise au jour.

    Pour ce qui est l'utilisation d'un de mes articles dans ce contexte, je ne peux pas dire que cela me réjouisse. Mais, c'est le jeu.
    Ce qui me rassure c'est que l'épave n'y a rien compris !

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Oui, c'est bien ça.

      En rajoutant que dans son esprit payer l'écot citoyen était le gage en retour d'être systématiquement publié, et plus important encore de s'arroger le droit de dire à Revelli que faire.

      Supprimer

D'avance, merci de votre participation !