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Erika Madrid, une des pensionnaires du Chicas Bar (Barrio Cabansa, district de San Pedro Sula, Honduras) |
Malgré des tests réguliers de dépistage du SIDA, on ne fait que conseiller aux prostituées séropositives d'arrêter leur activité. Sans autres sources de revenu, avec des enfants à charge et sans soutien familial, ces femmes doivent continuer à travailler jusqu'à ce qu'elles soient trop malades pour continuer. Un système d'endettement est organisé par les tenaciers des bordels qui prêtent de l'argent aux prostituées pour qu'elle achètent de la drogue, des vêtements, etc, alors qu'elles ne pourront pas rembourser. Devenus dépendantes, elles ne peuvent pas sortir du bordel sans l'autorisation du propriétaire et doivent attirer le plus de clients possible pour espérer se libérer.
Quand elles sont trop malades, beaucoup de filles finissent leurs jours avec leurs clients à l'Hospice San José.
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Dans l'attente d'un client |
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L'intérieur du Chicas Bar |
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Une fille du Fanny's Bar |
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Une pensionnaire du Fanny's Bar dans sa chambre |
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Trois filles du Fanny's Bar |
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On la surnomme La Folle du Fanny's Bar |
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Racolage actif |
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Dans l'attente d'un client |
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De retour de la douche |
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Une prostituée avec son client |
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Un moment de déprime |
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Renée, un travesti qui se prostitue dans la rue |
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Renée chez elle |
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Maria devant sa chambre |
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