mardi 31 octobre 2017

dimanche 29 octobre 2017

GREGG SEGAL - Une semaine de déchets


A l'instar de n'importe quel folliculaire mitoyen, je me lance dans la moraline. La surconsommation, le tri sélectif et toussa...
Le photographe californien Gregg Segal le fait bien mieux que moi et en images. Il a demandé à ces Américains de conserver leurs déchets pendant 7 jours.
Et ça donne ça !

vendredi 27 octobre 2017

Studio BIEDERER - Une rencontre champêtre


De quoi inciter à aller à la chasse aux champignons !

samedi 21 octobre 2017

ABOU ANTOUN - Un taxi pour Beyrouth

Comme souvent, le texte de ce billet n'est pas de moi. Celui-ci est d'Abou Antoun. Il voulait donner un complément au billet Aucun signe de vie à Beyrouth
Abou Antoun a vécu à Beyrouth dans les années 70, il en a rapporté ses souvenirs. Pour lui, Beyrouth c'est la vie. Il m'a envoyé son commentaire; je lui demandé l'autorisation d'en faire un billet. Don, contre-don, nous sommes quitte.
J'ai choisi quelques photographies récentes. Ce ne sont pas des illustrations, mais une forme de dialogue. La ville n'est plus la même, mais il y subsiste des impressions, des bruits, des ambiances, des tranches de vie... Les mêmes ? D'autres ? Robert Lavigue - Octobre 2017

ABOU ANTOUN - UN TAXI POUR BEYROUTH

Dans le Beyrouth d’avant 1980, pour se déplacer, pas de bus, pas de trams, pas de trolleys. Les transports en commun sont privatisés, ce sont des taxis collectifs qui s’y collent. Pour une raison que j’ignore, on les appelle les taxis-service.


Credit photo : Wajeb Wahab


lundi 16 octobre 2017

MUGSHOTS DE LA POLICE DE SYDNEY (Part 3)


Elles s'appelaient Amy, Dorothy ou Jessie. C'étaient de toutes jeunes femmes ou des femmes âgées. Leur point commun ? Toutes ont eu des démêlés avec la police de Sydney dans les années 20. Des affaires de moeurs, des vols, des escroqueries, du vagabondage, des meurtres même. Toutes sont passées devant le photographe officiel pour enrichir les fichiers de la police et de la justice locales.

vendredi 13 octobre 2017

Le bruit et la fureur d'un chapiteau roman


Depuis plus de 800 ans, la chapelle Sainte Cécile d'Aguilar de Campoo résonne du fracas d'un massacre. Des soldats en cottes de maille y égorgent des enfants sous les yeux de leurs mères.

Alors Hérode, voyant qu’il avait été joué par les mages, se mit dans une grande colère, et il envoya tuer tous les enfants de deux ans et au-dessous qui étaient à Bethléhem et dans tout son territoire, selon la date dont il s’était soigneusement enquis auprès des mages.
Alors s’accomplit ce qui avait été annoncé par Jérémie, le prophète : 

On a entendu des cris à Rama,

Des pleurs et de grandes lamentations:
Rachel pleure ses enfants,
Et n’a pas voulu être consolée,
Parce qu’ils ne sont plus.

Évangile selon Mathieu 2. 16-18

Les photographies sont de Antonio Garcia Omedes pour son site Romanico Aragones.
Le cauchemar sculpté est une représentation du Massacre des Innocents.

jeudi 12 octobre 2017

Évolution de la mode féminine entre 1784 et 1970



J'ai enfin trouvé un truc mnémotechnique qui me permet de me souvenir des dates.
Il suffit d'associer une tenue à une année !

Toutes les années de 1784 à 1970 sont ici

lundi 9 octobre 2017

mardi 3 octobre 2017

PAS DE BRELOQUE POUR LA LESBIENNE

Le dossier de Sidonie-Gabrielle COLETTE dans la base Léonore (Ordre de la Légion d'Honneur) est bien rempli. Pas moins de 92 pages !

Invariablement, au fil des différentes promotions de Colette (Chevalier en 1920, Officier en 1928, Commandeur en 1936, Grand Officier en 1953), les Ministres de l'Instruction Publique et des Beaux-Arts (puis de l'Éducation) certifient qu'il résulte de l'enquête de moralité qu'il n'y a pas d'objection à son admission dans l'ordre de la Légion d'Honneur. (1)




lundi 2 octobre 2017

Mener une vie de hobo


La photographe allemande Tamina-Florentine Zuch a suivi quelques jeunes hobos (on ne le reste pas longtemps, d'ailleurs) dans leurs pérégrinations ferroviaires.

Ce sont des vagabonds qui se déplacent de ville en ville en se cachant dans des trains de marchandises. Ce ne sont pas à proprement parler des migrants puisqu'ils n'envisagent pas de se fixer quelque part et la différence des clochards sédentarisés, ils (sur)vivent de petits boulots de journaliers.