mercredi 27 février 2019

Retrait soviétique d'Afghanistan - De nouveaux documents déclassifiés


Ce n'est pas un scoop ! De nouveaux documents déclassifiés démontrent que les États-Unis ont (trop) longtemps joué un jeu trouble en Afghanistan, en particulier en soutenant les fondamentalistes religieux (basés au Pakistan) dans leur lutte contre les Soviétiques.

Les munitions forment l'expression "Adieu Afghanistan" (en russe)


Washington DC, le 27 février 2019 - L'Union soviétique a retiré ses forces militaires de l'Afghanistan il y a 30 ans ce mois-ci sans parvenir à une démilitarisation ni à la réconciliation nationale, y compris des élections libres, pourtant recherchées lors de négociations avec les États-Unis, selon les documents déclassifiés publiés aujourd'hui par le site National Security Archive.

Les documents montrent que la position des Etats-Unis a changé du "retrait mutuel de toutes les forces extérieures" (comme l'a dit le président Reagan à Mikhail Gorbatchev à Genève en novembre 1985), à l'insistance sur le maintien du soutien en armement aux Moudjahidine afghans en 1988 (comme l'a dit, en tant que conseiller à la sécurité nationale, Colin Powell au secrétaire d’Etat George Shultz alors que ce dernier semblait favoriser «la retenue mutuelle»), au refus de plans d'élections libres en 1990 si elles permettaient au président en exercice de Kaboul, Najibullah (soutenu par l’Union soviétique) de se présenter. L’objectif principal des États-Unis était de provoquer un retrait de l’armée soviétique et, dès 1988, d’autres facteurs sont apparus, tels que les relations des États-Unis avec le Pakistan, l’engagement du Congrès en faveur de la résistance afghane et l’insistance des États-Unis sur le fait que Najibullah devait s'en aller.

Quand Facebook censure un artiste dégénéré

Tout le monde sait que les taliban qui assurent la censure sur Facebook ne brillent pas par leur culture. Ils sont à l'image de leurs patrons.
Par le passé, ils ont déjà censuré, Un Christ dénudé de Rubens, La Naissance du monde de Courbet et même La Vénus de Wilendorff. La bande à Mark Zuckerberg vient d'ajouter E.L. Kirchner à cette liste..

J'avais posté sur facebook une copie de ce billet : Ernst Ludwig Kirchner, le peintre comme photographe, (les photos m'ayant été fournies par le service de presse du musée)

Ce qui a posé problème, c'est cette photo :

E.L. Kirchner - Elisabeth Hembus as lying nude in the Wildbodenhaus, ca. 1930, Glass negativ, Kirchner Museum Davos, Donation Estate Ernst Ludwig Kirchner 1992

La photo a été supprimée par le robot de Facebook. J'ai, sans succès, déposé une réclamation, essayant de faire comprendre qu'il s'agissait d'une oeuvre d'art, que l'odalisque est un thème courant dans l'art européen, que cette photo est à mettre en rapport avec des tableaux de Kirchner et l'histoire de l'art, etc.. Rien n'y a fait. La décision a été maintenue après intervention humaine.

Ironie de l'histoire, E.L. Kirchner avait été considéré comme un artiste dégénéré par les nazis (cf l'exposition Entartete Kunst de 1937) et ses oeuvres avaient été retirées des musées allemands.
Aujourd'hui, c'est Facebook qui prend le relais... Mêmes causes, mêmes effets ?

PS : S'il avait fallu retirer une photo, j'aurais plutôt choisi celle-ci !
E.L. Kirchner - The Bildhaueratelier (Sculptor's studio) next to the Wildbodenhaus (sculptures by Hermann Scherer and one by Kirchner), 1924, Glass negativ, Kirchner Museum Davos, Donation Estate Ernst Ludwig Kirchner 1992

Quoi qu'il en soit, l'exposition est ouverte à tous (sauf aux taliban de Facebook qui pourraient y voir la représentation d'activités sexuelles) :

Jusqu'au 16 juin 2019

Museum der Moderne - Salzbourg


Géopolitique - La crise du Cachemire et ses implications

Près de 20 ans après les affrontements entre l'Inde et le Pakistan sur les hauteurs de Kargil - la deuxième fois de l'histoire seulement où des rivaux dotés d'armes nucléaires ont mené une guerre directe - les deux rivaux sud-asiatiques se sont confrontés, une fois de plus, autour du Cachemire.


Jeudi dernier, un SUV chargé d'explosifs a percuté un bus transportant des forces paramilitaires indiennes le long de la route nationale Jammu-Srinagar dans le Cachemire indien, faisant plus de 40 morts. Des vidéos et des images du chauffeur, Adil Ahmad Dar, se déclarant membre de l'organisation terroriste basée au Pakistan Jaish-e-Mohammad (JeM) ont commencé à circuler. De manière prévisible, l’Inde a rapidement condamné le Pakistan pour avoir orchestré l’attaque, exigé le démantèlement de l’infrastructure terroriste et la cessation de l’appui du Pakistan au terrorisme, et a commencé à envisager des mesures de représailles. Le Premier ministre Narendra Modi a déclaré qu'il avait "laissé toute la liberté des forces de sécurité pour réagir" à l'attaque, provoquant une réponse télévisée du Premier ministre pakistanais, Imran Khan, quelques jours plus tard.

Drivers, Decisions, Dilemmas: Understanding the Kashmir Crisis and its Implications - Sameer Lalwani and Emily Tallo 

mardi 26 février 2019

Jean Harlow - L'art du drapé



En 1929, Jean Harlow est déjà blonde, mais elle n'est pas encore le sex-symbol qu'elle deviendra au début des années 30. Elle n'a que 18 ans et n'a fait que quelques courtes apparitions dans des films aujourd'hui oubliés. Elle fut cependant repérée par Edwin Bower Hesser, un photographe d'Hollywood spécialisé dans les photos de stars et de starlettes.
Son coup de chance, Jean Harlow le doit à une figuration dans un film de Laurel et Hardy. Un collaborateur d'Howard Hughes traine sur le plateau et c'est Laurel qui la fait remarquer à Arthur Landau. Laurel, en homme de goût, préférait les femmes aux voix rauques. Ça tombait bien, Howard Hughes était dans l'obligation de remplacer Greta Nissen, une blonde d'origine norvégienne, mais à l'accent trop marqué pour un film parlant.
Un critique du magazine Variety écrivit à propos de Jean Harlow lors de la sortie des Anges de l'Enfer :
Le degré de talent manifesté par Jean Harlow n'a guère d'importance, les garçons ne manqueront pas de mener grand tapage à propos de cette fille qui est la créature la plus sensuelle apparue à l'écran depuis un certain temps. Elle jouera toujours le même rôle, mais il n'est personne qui, possédant ce qu'elle possède, soit jamais mort de faim !
Tout le monde connait la suite. Jean Harlow deviendra vite la "Blond Bombshell" ou la "Platinum Blonde", avant de mourir en 1937 à l'âge 27 ans.


lundi 25 février 2019

La Révolution iranienne de 1979 et les services de renseignement US

Il n'est jamais trop tard pour apprendre (ou pas) de ses erreurs. La révolution iranienne de 1979 : Échecs (et quelques réussites) des services de renseignements et diplomatiques.


La National Security Archive vient de publier une première série de documents sur le sujet. Ce n'est qu'une mise en bouche; elle annonce pour 2019, la publication de 2500 documents déclassifiés.

L'examen des documents produits par les services de renseignement et les diplomates américains suggère que, malgré d'importantes erreurs, des informations substantielles étaient à la disposition des décideurs. 

dimanche 24 février 2019

Nissim Levis - Un bourgeois juif dans la Grèce de la Belle Époque

Ioannina, on the island, near the monastery of Saint Nicholas Stratigopoulosor Dilios, circa 1905.



samedi 23 février 2019

Géopolitique : Du rififi aux Chagos


Ce n'est pas la première fois que l'archipel des Chagos fait l'actualité géopolitique. Depuis de nombreuses années, Maurice revendique ces îles situées à plus de 2000 km de Port-Louis, ce qui lui permettrait d'étendre sensiblement sa zone d'exclusivité économique. Londres et Washington s'y opposent pour pérenniser leur implantation militaire dans l'océan Indien, en particulier la base américaine de Diego Garcia (un véritable porte-avion !). A noter que la France ne semble pas être particulièrement impliquée; elle a pourtant des intérêts stratégiques dans cette région !



vendredi 22 février 2019

Vivien Hoch - Les médias et la vérité, le grand mensonge

J'ai pêché ce billet de Vivien Hoch chez Polemia. Jean-Yves Le Gallou n'a pas toujours bonne presse. Raison de plus pour, compte tenu du sujet traité, d'au moins prêter attention à ce que sa 'Fondation identitaire' publie !

 

Vivien Hoch - Les médias et la vérité, le grand mensonge

La devise du New York Times énonce : « Toutes les nouvelles qui méritent d’être imprimées ». Il n’y a rien de plus faux. Chaque jour, le journaliste détermine ce qui est important, ce que nous devrions savoir. Il fait le tri entre les informations et choisit la manière de les présenter.


Les journalistes des grands journaux se targuent de maîtriser leurs préjugés et de fournir une information « experte ». « Ils se voient comme les défenseurs des valeurs occidentales progressistes, nous protégeant des nouvelles qui ne méritent pas d’être imprimées, pornographie, propagande ou publicités déguisées en informations. Tels des conservateurs de musée, les rédacteurs du NYT organisent notre vision du monde », écrit Scott Galloway, professeur à la New York University, qui a été au comité de direction du New York Times [1]. « Lorsqu’ils sélectionnent les informations qui feront la une, ils établissent le programme des journaux radio et télévisés, la vision dominante de l’actualité partagée par la planète ».

jeudi 21 février 2019

Et le démon viendra te lécher les orteils...


C'est l'université de Princeton qui conserve ce traité de divination compilé entre 1906 et 1921 dans la région d'Ispahan.


mercredi 20 février 2019

Lea Gabrielle - La TV mène à tout à condition d'en sortir

Imaginerait-on Ruth Elkrief en pilote de chasse, Léa Salamé comme agent de la DGSE ou Christophe Barbier dans un commando d'infanterie de marine ? L'administration Trump l'a fait !




Le 7 février, le Secrétaire d'État Mike Pompeo a annoncé aux employés du département d'État la nomination de Lea Gabrielle, ancienne correspondante de Fox News et vétéran de la marine américaine comme Envoyé Spécial et Coordinateur du Global Engagement Center (GEC). Le CEG est chargé de diriger les efforts du gouvernement américain pour contrer la propagande et la désinformation des organisations internationales de terroristes et des pays étrangers. Son travail est centré sur quatre domaines principaux: la science et la technologie, l'engagement interinstitutions, l'engagement des partenaires et la production de contenu.
Mike Pompeo dit que « L'expérience de Léa fait d'elle un excellent choix pour ce poste. C'est un ancien officier des opérations de renseignement humain formé par la CIA, un officier de liaison avec la Défense étrangère, un directeur du programme de la marine américaine, un pilote de chasse F / A-18C de la Marine et un correspondant de télévision nationale. Elle a dirigé des opérations mondiales de collecte de renseignements stratégiques clandestins. Elle a également participé à des opérations antiterroristes tactiques dans des environnements hostiles avec la Naval Special Warfare (SEAL). »  
Le secrétaire Pompeo a terminé son annonce par : « Nous devons gagner la lutte contre la propagande et la désinformation. Sous le leadership visionnaire de Lea , les États-Unis seront mieux protégés de ceux qui tourneraient les cœurs et les esprits contre nous ».
(source : Diplopundit

mardi 19 février 2019

Dans l'assiette des voisins 13 - Militaria




La Tchéka en Marche ou Effet Streisand en Macronie ?
Dans le dernier numéro de la Revue Défense Nationale, le colonel François-Régis Legrier signe un excellent article dans la rubrique Opinions (rappelez-vous, cet espace nécessaire où on peut s'exprimer librement sans engager aucune institution !). Cet article est disponible ici (p. 65), est intitulé : La bataille d'Hajin : victoire tactique, défaite stratégique ? Il s’agit peut-être, assez loin des éléments de langage habituels, de l’exposé le plus clair de la manière dont nous faisons la guerre sur ce théâtre d’opérations, avec ses points forts mais aussi ses grandes limites.

Le seul problème, c'est que l'article du colonel Legrier a disparu du site de la revue !
Résultat des courses ? L'article est maintenant disponible sur de nombreux sites (ici par exemple) et ce qui aurait du être un débat circonscrit à quelques blogs spécialisés dans la Défense touche maintenant un public beaucoup plus large, y compris à l'étranger...
Encore un coup des Russes, Manu ?


lundi 18 février 2019

USA - Quitter le bourbier afghan... et vite !



Un sondage récent a révélé que 57% des Américains, dont 69% des anciens combattants, ont déclaré qu'ils soutiendraient la décision du président de retirer toutes les troupes d'Afghanistan. Mais les élites de Washington en matière de politique étrangère - néoconservateurs, faucons de la défense et interventionnistes libéraux - rejettent cette idée. Selon Richard Hass , président du Council on Foreign Relations, «Ne pas gagner la guerre ni négocier une paix durable est une véritable option en Afghanistan. Mais partir, comme nous allons le faire en Syrie, serait une erreur . "

samedi 16 février 2019

Blondie punkette


Cet élégant couple de septuagénaires n'évoquera pas grand chose pour la plupart des visiteurs. Le même couple, photographié il y a 40 ans (ci-dessous), rappellera peut-être quelques souvenirs aux plus âgés.
Mais, il faut avoir plus de 50 ans (ou avoir visité l'exposition Punk : Chaos to couture au Met en 2013) pour pouvoir imaginer que la new wave fut un temps une avant-garde et que Blondie n'a pas toujours été synonyme de poupée Barbie !

Lynn Goldsmith - Debbie Harry and Chris Stein, 1978


vendredi 15 février 2019

Comprendre l'échec américain en Afghanistan


Comprendre l'indéniable échec américain en Afghanistan
Jason Dempsey - Comming to Terms with America's Undeniable Failure in Afghanistan (via War on the Rocks)

Les États-Unis ont échoué en Afghanistan. Les analystes et les historiens n’ont plus qu’à débattre de la question de savoir comment et à qui la faute. Les négociations et les plans de retrait étant toujours d'actualité début 2019, près de 18 ans après le 11 septembre 2001, l'ampleur réelle de l'échec américain reste à déterminer, mais il n'est pas trop tôt pour examiner les lacunes de nos institutions et de nos dirigeants.

Au cours de la guerre en Afghanistan, des experts ont imputé la responsabilité de l'échec aux administrations successives. Les arguments étaient que le président George W. Bush était distrait par l'Irak, que le président Barack Obama avait donné un calendrier qui permettait aux talibans d '«attendre» les efforts des forces de la coalition et que le président Donald Trump n'avait tout simplement pas de stratégie. Chacune de ces critiques peut contenir une part de vérité et, en fin de compte, le commandant en chef est responsable de l'exécution de la politique étrangère américaine, mais le fait même d'examiner ces critiques est un facteur limitant des capacités militaires américaines.

mercredi 13 février 2019

Introduction à la géopolitique du pétrole



Introduction à la géopolitique du pétrole
Anand Toprani - A Primer on the Geopolitics of Oil (via War on the Rocks)

L'année dernière a été une année folle pour l'industrie pétrolière. Entre janvier et octobre, les prix du pétrole ont monté à près de 80 dollars le baril, soit une augmentation de 25% par rapport au début de l'année, grâce aux craintes suscitées par le retrait de Washington du Plan d'action global et commun avec l'Iran. Dans les mois qui ont suivi, les prix ont chuté en raison de :
- l’augmentation de la production de pétrole de schiste aux États-Unis,
- de la faiblesse de la demande des consommateurs et des craintes concernant les perspectives économiques mondiales à venir (exacerbées par la perspective d’une guerre commerciale sino-américaine),
- de l'autorisation donnée par le gouvernement Trump à certains pays de continuer à importer du pétrole iranien,
- de l’impossibilité pour l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP) et la Russie de réduire suffisamment leur production.
Cet effondrement a annulé tous les gains antérieurs et, combiné à la menace de la législation antitrust américaine, a remis en question l'avenir de l'OPEP. Le Qatar, producteur de pétrole marginal mais détenteur des plus grandes réserves de gaz naturel au monde, a même choisi de quitter l'OPEP.


lundi 11 février 2019

40 ans de politique étrangère iranienne



Quarante ans se sont écoulés depuis que des groupes de révolutionnaires disparates, dont beaucoup ne sont unis que par leur opposition à l’alignement de l’État impérial d’Iran sur les États-Unis, ont renversé Shah Mohammad Reza Pahlavi.

Depuis lors, des centaines de chercheurs et de praticiens américains ont tenté de comprendre la politique étrangère de la République islamique d'Iran et de savoir comment répondre au mieux aux défis qu'elle pose. Certains préconisent depuis longtemps de faire participer le régime iranien, tandis que d'autres ont plaidé pour une position plus ferme à son encontre. Le président américain Donald Trump a fait valoir qu'une campagne de pression maximale contraindrait les mollahs à négocier et à conclure un accord sur l'ensemble de leur politique étrangère, y compris leurs programmes de missiles et nucléaires et leurs interventions sur plusieurs théâtres du Moyen-Orient et de l'Asie du Sud. Mais la République islamique ne changera probablement pas le cours de sa politique étrangère.


samedi 9 février 2019

Une arme non conventionnelle : L'utilisation militaire du FMI et de la Banque Mondiale


Whitney Webb - US military use of IFM, World Bank as unconventional arms

Dans un manuel militaire sur la «guerre non conventionnelle» divulgué récemment par WikiLeaks, l'armée américaine indique que les principales institutions financières mondiales - telles que la Banque mondiale, le Fonds monétaire international (FMI) et l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) - sont utilisés comme «armes financières non conventionnelles en période de conflit allant jusqu’à la guerre générale à grande échelle», ainsi que pour renforcer «les politiques et la coopération des gouvernements des États».

vendredi 8 février 2019

Histoire de Sésé, une indienne Arawak

II y avait jadis un Indien Arawak qui recommanda à sa fille Sésé de ne pas se baigner dans un certain bassin de la rivière quand elle n'était pas bien portante. Un jour Sésé, oubliant le conseil, alla s'y baigner alors qu'elle était indisposée. Or dans le bassin vivait un serpent « tête chien » (acayouman en caraïbe) qui, s'emparant de la fille, la rendit mère.


jeudi 7 février 2019

Ceylan au temps des Indes Britanniques (1870 - 1900)



Des coloniaux et des langoustes géantes, des indigènes et des éléphants, le Grand Hôtel Oriental et le front de mer... Une vision du paradis à l'époque de la reine Victoria !


lundi 4 février 2019

Fred Boissonnas - La Tunisie en 1912


Tunisie, 1912. Photographies de Fred Boissonnas pour le compte de Victor Bérard.
Source : Bibliothèque de Genève


vendredi 1 février 2019

VIVIAN MAIER - L'art de se tirer le portrait en couleurs


Vivian Maier, la nounou photographe, n'a pas pris que des photos en noir et blanc. Elle a aussi travaillé la couleur.
Donc, après une série de selfies en noir et blanc, voici une série de selfies en couleurs. Un jeu d'ombres, de miroirs et de lumière !