Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Articles les plus consultés
-
Quand Morice n'arrive pas à se faire éditer sur son média citoyen (sic) préféré, en bon folliculaire, il propose ses oeuvres sur des pl...
-
Otto van Veen The Persian Women ca. 1597-99 oil on panel Kunsthistorisches Museum, Vienna Les Perses, à la sollicitation de Cyrus, déclarèr...
-
Adolf Hitler avait-il en matière d'art aussi mauvais goût qu'on peut souvent le lire ? Ou, au contraire, avait-il l'oeil d'...
-
Groupe de Newsboys - Dimanche 7 mars 1909, 6h du matin à Hartford (Connecticut) Photo : Lewis Wickes Hine - Source : Bibliothèque du Cong...
-
Les antipodes Tous les amateurs considèrent les Métopes de la cathédrale de Modène comme des chefs-d'oeuvre de la sculpture lombard...
-
"J'ai suffisamment à faire avec les coupables qui n'ont pas avoué." Ainsi le poète bénit-il les meurtriers qui tabass...
-
Rouen - 1896 De mai à mi-octobre 1896, une Exposition Nationale et Coloniale est organisée à Rouen. Sa grande attraction est un village...
-
Gordon Parks - Washington, D.C. Government Charwomen (American Gothic) - 1942 C'est un portrait iconique pour les Américains cultiv...
Nombril, je t’aime, astre du ventre.
RépondreSupprimerŒil blanc dans le marbre sculpté,
Et que l’Amour a mis au centre
Du sanctuaire où seul il entre,
Comme un cachet de volupté.
Petit nombril, que mon penser adore,
RépondreSupprimerEt non mon oeil qui n'eut onques le bien
De te voir nu, et qui mérites bien
Que quelque ville on te bâtisse encore ;
Signe amoureux, duquel Amour s'honore,
Représentant l'Androgyne lien,
Combien et toi, mon mignon, et combien
Tes flancs jumeaux folâtrement j'honore !
Ni ce beau chef, ni ces yeux, ni ce front,
Ni ce doux ris ; ni cette main qui fond
Mon coeur en source, et de pleurs me fait riche,
Ne me sauraient de leur beau contenter,
Sans espérer quelquefois de tâter
Ton paradis, où mon plaisir se niche.
Pierre de Ronsard.
Voir le nombril d'la femm' d'un flic
RépondreSupprimerN'est certain'ment pas un spectacle
Qui du point d' vue de l'esthétiqu'
Puiss' vous élever au pinacle.
Il y eut pourtant dans 1' vieux Paris
Un honnête homme sans malice
Rêvant d' contempler le nombril
D'la femm d'un agent de police.
G. Brassens