Illustrations de Karl Alexander Wilke publiées en 1910 dans l'hebdomadaire humoristique viennois Die Muskete (Le Mousquet)
Credit : ANNO Historische österreichische Zeitungen und Zeitschriften
Illustrations de Karl Alexander Wilke publiées en 1910 dans l'hebdomadaire humoristique viennois Die Muskete (Le Mousquet)
Credit : ANNO Historische österreichische Zeitungen und Zeitschriften
La sixième à partir de la fin!
RépondreSupprimerPangloss
Tentative pour la page N°1 ou page 107
RépondreSupprimerL'odeur stagne dans les nuages gris ; les femmes crient, les hommes hurlent, et au-dessus de tout cela se répand une odeur fétide de vin et d'aisselles nues.
Et entre la populace et les philistins narquois, elle se niche, attire et rit avec de la poudre et des rides peintes vers la douce paix d'une nuit.
C'est la fin amère des voleurs ; ici, on se retrouve toujours par deux ! - Istvan, le Primat, gratte le violon : « Comme autrefois en mai
Il crie et gémit – les verres tintent, tu étais trop lâche pour ton bonheur ! Et détend ton esprit et ta vivacité. Mais maintenant, c'est pareil – Disparu ? – Non, car maintenant, dans le bourdonnement des prostituées, le violon s'éteint dans un gémissement : Reste le siège légitime de ton tremblement. » « Comme autrefois – en mai – – ». Franz Theodor C. Lokor.