jeudi 8 janvier 2015

L'ASSIETTE AU BEURRE - N°42 (1902). Les tueurs de routes par Weiluc

- J'ai souvent remarqué que le cri de l'homme écrasé ressemble étrangement à celui du chien... Darwin avait peut-être raison !...

Crédit : Bibliothèque Nationale de France - Gallica. Illustrations de Weiluc.
Le numéro complet ici :




- Jusqu'à présent nous avons été prudemment... Maintenant nous allons faire... un peu de vitesse.


- Comment peux-tu me laisser porter cette horrible peau ? Madame X... a une peau beaucoup plus douce et soyeuse. 


- J'y étais, je l'ai vu; tu parles s'il était content !... Rien à sa machine ! 


- Les accidents !... Moi j' m'en f...! J'suis assuré !... 


- Rien à la machine ? All right ! 


- Vos familiarités me déplaisent, Justin, un fossé nous sépare.
Le chauffeur. - Monsieur le Comte oublie que, dans ce fossé, il a mis un cadavre...


- ... pas très adroit ?
- Alors, prenez-là... rouge sang.


- Mes pneus boivent l'obstacle... Attendons !... 


- Mon cher Gaëtan, veuillez donc prier la princesse de me passer la boîte à graisse. 


- Un seul cheval arrive à traîner ma voiture et on me l'a vendue pour une vingt-quatre chevaux !...


- Ce que je voudrais, c'est une machine à écraser 36 000 cochons. 


Elle. - ... Parait que la vallée que nous traversons est délicieuse.

Crédit : Bibliothèque Nationale de France - Gallica. Illustrations de Weiluc.

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