samedi 21 avril 2018
Le côté obscur de la Cité des Anges
Dans les années qui ont suivi la Première Guerre mondiale, la ville de Los Angeles s’est transformée: de cité arriérée, elle est devenue une brillante métropole pleine d’avenir. Mais en chemin, sa façade toujours plus glamour s’est fissurée, révélant sa noirceur. Car, avec les milliers de gens qui affluaient vers la ville pour y réaliser leurs rêves et satisfaire leurs désirs, ont déferlé les combines faciles pour s’enrichir rapidement, les fausses religions, le crime organisé et la corruption rampante.
Histoire visuelle sans égal, Dark City réunit des images puisées dans les archives, les musées, les services de documentation des journaux, les collections privées et l’immense bibliothèque personnelle de l’auteur pour révéler les histoires vraies, glauques et horribles du Los Angeles des années 1920 à 1950. Au fil des ruelles, des bars glauques, des relais routiers, des casinos flottants, des studios de tatouage, des maisons de jeux, des boîtes de nuit et des scènes de crime les plus sanglantes, nous est dévoilée une ville gangrenée par le meurtre, au bord du chaos.
De Sunset Boulevard à la Central Avenue saturée de jazz, les unes de la presse à scandale racontent les vedettes les plus célèbres et les crimes les plus sordides d’une ville trépidante qui a inspiré journalistes, écrivains de romans populaires et scénaristes des studios dans leur création du genre «noir». À travers des reproductions de magazines d’époque rares, issues des rubriques criminelles, voici une histoire visuelle inédite et évocatrice à travers laquelle meurtres, bandits, détraqués et rues malfamées de la Cité des Anges passent du mythe à la réalité.
(via Taschen)
(via Taschen)
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Il va de soi que pour se faire une idée sensible de Los Angeles, la lecture de James Ellroy est incontournable.
RépondreSupprimer.
Une fois de plus les bien pensants vont se heurter à leur hymalayesque bêtise en prétextant les partis pris « conservateur » et « réactionnaire » de cet auteur pour lui dénier le moindre talent.
.
j'en connais qui avouent condamner à priori Céline (sans l'avoir lu) pour ces mêmes raisons.Mais ...les mêmes ne supportent pas l'évocation de Proust pour des raisons tout autant fondées ...
En vérité ils avouent ne l'avoir jamais lu.
Pour ce qui est de la lecture, que ce soit celle de James Ellroy ou d'un autre, les bien pensants ont résolu le problème depuis longtemps... Il ne lisent plus qu'eux-mêmes !
Supprimer(Et comme leur Melon est le centre du monde, et que de surcroit personne ne les lit, ils s'imaginent que plus personne ne lit quoi que ce soit)
Quoi qu'il en soit, il y a quelques chose du Dahlia Noir dans ces photos.