Le Palais Idéal du Facteur Cheval
Le facteur virtuel m'a déposé cette missive ce matin.
Madame, Monsieur,
CECI EST UN AVERTISSEMENT.
Avec regret, nous avons constaté que vous avez lourdement abusé de cet espace gratuit de liberté d'expression que nous offrons à tous. En effet, vos commentaires et articles sur AgoraVox ont souvent fait l'objet de signalement d'abus et de notifications de plaintes pour diffamation, injure, harcèlement, provocation à la haine, dénigrement parasitaire, etc., envers un autre rédacteur ou envers autrui.
Ces contenus ont souvent dus être supprimés, car la loi pour la confiance dans l'économie numérique du 21 juin 2004 nous y oblige.
En effet, ils sont contraires à notre charte de bonne conduite et contraires à la loi du 29 juillet 1881 relative à la liberté de la presse.
Aussi, si vos commentaires et articles continuent dans ce sens, non seulement impolis mais aussi illicites, nous serons dans l'obligation, d'ici un mois, de supprimer votre compte sans autre mise en garde.
Cordialement,
Le Service Juridique d’AgoraVox
CECI EST UN AVERTISSEMENT.
Avec regret, nous avons constaté que vous avez lourdement abusé de cet espace gratuit de liberté d'expression que nous offrons à tous. En effet, vos commentaires et articles sur AgoraVox ont souvent fait l'objet de signalement d'abus et de notifications de plaintes pour diffamation, injure, harcèlement, provocation à la haine, dénigrement parasitaire, etc., envers un autre rédacteur ou envers autrui.
Ces contenus ont souvent dus être supprimés, car la loi pour la confiance dans l'économie numérique du 21 juin 2004 nous y oblige.
En effet, ils sont contraires à notre charte de bonne conduite et contraires à la loi du 29 juillet 1881 relative à la liberté de la presse.
Aussi, si vos commentaires et articles continuent dans ce sens, non seulement impolis mais aussi illicites, nous serons dans l'obligation, d'ici un mois, de supprimer votre compte sans autre mise en garde.
Cordialement,
Le Service Juridique d’AgoraVox
Olivier, le facteur du NPA prend la pose
En homme courtois, Lavigue confie sa missive à son facteur (virtuel) :
Madame, Monsieur Le Service Juridique d'Agoravox,
J'ai bien reçu votre courriel,
Je ne peux que me réjouir que de votre souci de faire respecter les différentes lois ainsi que votre propre charte.
C'est indispensable au bon fonctionnement d'un lieu d'échanges qui se veut citoyen. Les plagiats, les insultes, les citations tronquées, les calomnies, les provocations, les traductions bancales, les citations non sourcées, les photos non créditées et les affabulations de toutes sortes ne peuvent que nuire à la qualité des débats, aux auteurs respectables, à la notion de liberté d'expression et, in fine, à la crédibilité d'Agoravox.
Je ne suis pas un des ces auteurs. Je me limite à participer aux commentaires. J'en parle donc d'autant plus librement.
Vous indiquez avoir supprimé certains de mes commentaire. Soyez francs, presque tous !
Je n'ose imaginer qu'il suffise à n'importe quel psychopathe de cliquer sur un lien pour que le commentaire disparaisse automatiquement, ceci sans aucun contrôle de conformité de la part d'un service de modération.
SI VOUS AVEZ SUPPRIME MES COMMENTAIRES, C'EST DONC QUE VOUS LES AVEZ LUS !
Et, si vous avez lu ces commentaires supprimés, vous ne pouvez ignorer leur contenu qui est loin d'avoir la nature que vous leur prêtez insidieusement !
J'avoue bien quelques rares expressions d'exaspération, mais pour l'essentiel, mes commentaires sont courtois et factuels (ils respectent aussi la langue française, mais c'est un autre problème).
Avec une pointe de regrets, je constate que mes commentaires n'ont appelé aucune autre intervention de votre part que leur suppression.
Dans ce cadre, je me permet de vous rappeler que ce commentaire, publié le samedi 1er février à 19h25, calomnie un auteur et est toujours visible à cette heure :
http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/les-dangereuses-metastases-de-la-146248#forum3938969
Dans la soirée du 1er février, j'ai démontré dans une réponse tout aussi indignée qu'argumentée qu'il s'agissait d'une pure calomnie.
Très curieusement, c'est ma réponse qui a disparu, la calomnie reste et j'attends toujours une réaction de votre part.
Je ne me permettrai pas de conclure que vous encouragez ces pratiques quand elles sont le fait de certains intervenants.
Cordialement,
Lavigue
(Mise à jour. Quelques temps après l'envoi de ce mail, le commentaire en question a disparu du site, comme par enchantement. Les curieux pourront en retrouver la teneur ici !)
(Mise à jour. Quelques temps après l'envoi de ce mail, le commentaire en question a disparu du site, comme par enchantement. Les curieux pourront en retrouver la teneur ici !)
Je crois malheureusement que le facteur ne sonnera pas une seconde fois
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