Pour ceux qui ne sont pas de notre avis, quatre murs c'est trois de trop.
Félix Djerjinski (authentique gauchiste de combat)
Gauche de combat™, l'animateur-propagandiste du blog Les Echos de la Gauchosphère a, comme tout gaucholâtre qui se respecte, une vocation de tchékiste, milicien, commissaire du peuple, gardien de camp (rayer les mentions inutiles) :
"Ceux qui me suivent depuis longtemps savent que je me suis
fait une spécialité, à l’instar d’autres (avec lesquels je travaille en réseau,
ou seul selon les circonstances), de la chasse aux malfaisant(e)s : racistes,
sexistes, machistes, masculinistes, homo et transphobes, xénophobes, nazis si
peu néos, et autres imbéciles qui croient que l’impunité dont ils pensent jouir
derrière la protection illusoire de leur écran leur permettent de faire
n’importe quoi."
Même ceux qui ne découvrent qu'aujourd'hui cet agité mononeuronal savent à quoi s'en tenir avec ces chasseurs folkloriques de fascistes improbables. Ces matamores virtuels aux méthodes nauséabondes (qui ne sont pas sans rappeler les zeures les plus sombres etc) brillent surtout par leur capacité à discréditer la cause qu'ils prétendent servir. Au point qu'on peut se demander si ces individus ne sont pas de vulgaires agents provocateurs au service d'officines louches.
Sûr de l'impunité que lui assure son brevet auto-décerné de gaucholâtrie de combat, c'est quotidiennement que Gauche de Combat™ écrit n'importe quoi, allant jusqu'à associer maintien de l'ordre, violences policières et terrorisme (voir ici).
Ce serait son droit le plus strict à condition de ne pas refuser ce même droit d'écrire n'importe quoi aux autres... la plupart avec une pensée bien plus structurée que celle de Gédécé pour qui la dialectique doit être l'art de faire pousser des cacahuètes.
Gauche de Combat™ s'indigne quand la fachosphère s'expatrie (voir ici). Mais quelle crédibilité accorder à un individu discrédité qui choisit une société de l'Arizona comme registrar de son nom de domaine (voir ici) ? L'Arizona, le paradis des casinos, des bordels, de la CIA et de la mafia... On a vu mieux comme refuge pour l'économie et la pensée collabo-ratives !
A ses moments perdus, Gauche de Combat™prend la défense d'une journaliste menacée de licenciement par l'Obs et y voit la trace d'un maccarthysme social-démocrate (il oublie de citer Brecht et le ventre immonde de la bête féconde... enfin un truc de ce genre...). Avec comme seule source un article de Libération (le supplément presque gratuit de SFR-Drahi), Gauche de Combat™ne risque pas d'aller beaucoup plus loin que l'indignation convenue. Certes, c'est bien triste pour cette Jeanne d'Arc de la carte de presse, cette Rosa Luxembourg des salons germanopratins, cette Bernadette Soubirou du papier glacé et toussa.
Pourtant, grâce à ses indemnités de licenciement, Aude Lancelin, futur ex-contremaître chez Bergé-Niel-Pigasse pourra relancer La Cause du Peuple avec son compère Badiou ! Il y a une niche inoccupée pour la presse stalino-maoïste...
Il n'y a guère que lorsqu'il s'agit de flinguer Claudine Tiercelin, professeur de philosophie au Collège de France que cette blanche colombe du journalisme oublie de rappeler sa connivence avec Badiou. A ce propos, le blog des éditions Agone a mis en ligne la savoureuse lettre ouverte de Jacques Bouveresse au Nouvel Observateur... Editions Agone qui devraient pourtant être connues d'un gaucholâtre de combat !
Merci. J'ai beaucoup ri.
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